Révérend Charles A. Tipp

1er mars 1926-8 décembre 2014

SWS - Charles TippCharles (Chuck) Tipp est né le 1er mars 1926 à Toronto et est devenu chrétien à neuf ans. Son cœur était tourné vers Dieu et il aimait les gens; partout où il allait, ses échanges le démontraient bien. Il a épousé sa bien-aimée de toujours Olive Erb en 1955. Il terminait toujours ainsi les lettres qu’il adressait à leurs filles Carol, Cathy et Barb : « Que l’Éternel te bénisse et te garde! Que l’Éternel fasse briller sa face sur toi et t’accorde sa grâce! Que l’Éternel lève sa face vers toi et te donne la paix! » (Nombres 6.24-26) Charles aimait voyager et, en plus de ses séjours en tant qu’enseignant au séminaire en Inde, Olive et lui ont pu visiter l’Espagne, l’Allemagne et le Brésil, et séjourner au Népal, en Colombie-Britannique et en Australie pour passer du temps avec leurs enfants et petits-enfants.

Sa vie démontrait une grande reconnaissance envers son Sauveur. Il a d’abord servi en tant que pasteur à la Hope Baptist de Niagara Falls, puis a été professeur au Central Baptist Seminary et au Tyndale Bible College. Il possédait une maîtrise ès arts ainsi qu’une maîtrise en divinité et a poursuivi des études doctorales; cependant, son amour des échanges qu’il avait auprès des gens surpassa son désir d’obtenir un autre grade universitaire. Il a donc poursuivi ses échanges auprès des croyants dans divers contextes : à Inter-Varsity et aux camps Muskoka et Pioneer. « Chuck » a servi auprès du Fellowship en tant que rédacteur en chef du Fellowship Baptist (connu aujourd’hui sous le nom de Thrive, la version anglaise de L’Essor). Il a joué un rôle instrumental dans la fondation du programme des missions outre-mer du Fellowship et a servi en tant que président et membre du Conseil du Fellowship à l’étranger pendant de nombreuses années ainsi qu’auprès d’Interserve. Il avait à cœur que les gens connaissent leur Sauveur et qu’ils nouent des liens les uns avec les autres. De plus, lorsque sa vue a commencé à décliner, puisque la lecture était l’une de ses activités préférées, il a affronté cette condition avec le courage et la grâce qui lui étaient coutumiers et il a toujours été reconnaissant pour tout ce qu’il avait eu le privilège de voir au cours de sa vie. Son grand cœur nous manquera.

Certaines informations de cet article sont tirées de la chronique nécrologique du Toronto Star du 13 décembre 2014.

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